Tout cela pour une politique « fondée sur des preuves » : « C'est un secret ouvert, bien que sale, dans le monde de l'évaluation que le processus de randomisation n'est pas aussi bien contrôlé que de nombreuses études le laissent entendre… Parfois, le personnel des ONG qui effectue la randomisation s'assure que leurs participants ou sites préférés sont sélectionnés, ou modifie le processus afin que les clients qu'ils soupçonnent de pouvoir mieux profiter du traitement soient ceux qui en bénéficient. »

Les gens ne comprennent pas cette histoire, qui vient d'Australie. Elle concerne l'immigration asiatique. Les écoles sélectives de Sydney sont composées à 80-90 % d'Asiatiques. La Chine a interdit le tutorat après l'école en 2021, et les raisons avancées dans cet article sont similaires.

L'auteure de cet article du LRB est-elle la même dame qui a été présentée l'année dernière dans le New York Times, allant à des raves et sortant avec un DJ à 43 ans ?