Les énergies renouvelables ne sont plus marginales. Elles deviennent centrales pour le réseau britannique et mondial. Passons en revue les données et pourquoi @fuseenergy se positionne comme le prochain grand challenger dans le paysage de l'énergie renouvelable. En 2024, le réseau britannique ressemblait à ceci : • Éolien : 84,3 TWh • Gaz : 84,1 TWh • Nucléaire : 40,8 TWh • Solaire : 15,5 TWh • Charbon : 2,3 TWh Le gaz, autrefois dominant, est maintenant au coude à coude avec les énergies renouvelables. (Image 1 : Production d'électricité au Royaume-Uni par source) À l'échelle mondiale, les énergies renouvelables prennent de l'avance : • Hydroélectricité : 4 418 TWh • Éolien : 2 497 TWh • Solaire : 2 130 TWh • Bioénergie/autres : 800 TWh (Image 2 : Production d'énergie renouvelable mondiale par source) _________________ L'augmentation des énergies renouvelables ne consiste pas seulement à en générer davantage. Le véritable défi est d'équilibrer les pics de demande avec la stabilité du réseau. • Demande croissante : L'utilisation mondiale d'électricité augmente de 3 à 4 % par an, tandis que les VE à elles seules nécessiteront 780 TWh d'ici 2030 (≈ 2,5 % de toute l'énergie). • Pannes : Le DOE américain avertit que les coupures pourraient augmenter de 100 fois d'ici 2030. L'Espagne a déjà perdu 60 % de la demande en 5 secondes (2025). L'Afrique du Sud a perdu 4 126 GWh en 2024, coûtant 25 milliards de dollars. • Centres de données : D'ici 2030, ils pourraient consommer 945 TWh par an, ce qui équivaut à la consommation totale du Japon aujourd'hui. En Irlande, les centres de données utilisent déjà 22 % de l'électricité nationale. • Énergies renouvelables gaspillées : La Californie a gaspillé 3,4 TWh d'énergie renouvelable en 2024 en raison de goulets d'étranglement du réseau. Le Royaume-Uni a réduit de 10 % la production éolienne la même année. ...